Bonjour, Est-ce naïf ? Mais je crois à la vertue de l'honnêteté et d'une approche si possible scientifique (au moins, adopter un minimum de prudence) lorsque l'on aborde tout sujet, d'autant plus le sujet est l'objet de polémique. Je me dois d'être aussi prudent envers moi-même, je me dois douter de moi-même et de mes convictions et jugements, éviter tout jugement hâtif _ sur tel sujet, sur les autres (qui suis-je pour croire que je tiens tous les tenants et aboutissants d'une affaire) ... _ et pire encore croire que je détiens la vérité avec un grand V (car presque tout le monde, ici-bas, croit détenir un vérité, chacun à sapetite ou grande échelle). Pire serait de me croire être un "maître-penseur", une "autorité incontestable", qui ne faillit jamais (à l'exemple, des "prophètes" _ des "gourous" autoproclamés _, des dictateurs, à l'image de ces personnalité à l'ego surdimensionné, qui sont "subjugués" par eux-mêmes et leurs découvertes). Quand j'aborde un sujet, je ne fais jamais l'économie de faire une vérification aussi approfondie que possible de l'information, des sources, par paresse intellectuelle, par "manque de temps", Du moins, je tente de le faire systématiquement. Pour moi, tout le monde devrait connaître la démarche scientifique, qui demande une très grande rigueur et honnêteté intellectuelle. Cette approche rationnalise et dépassionne les débats. Or je constate que la démarche scientifique, dont celle de vérification systématique de toutes les informations et de vérification expérimentale rigoureuse, celle qui développe l'ésprit critique, n'est pas tout enseignée, en France, à l'école primaire, au lycée, collège, mais pire encore, ni dans l'écoles d'ingénieurs ou de médecine. On peut ressortir de ces écoles en restant un ingénieur ou un médecin scientifiquement farfelu (ces formations n'inciteront pas des Dr. Luc Jouret, des Dr Jean Solomidès ... à être prudents sur leurs supposées découvertes). Les bonnes écoles de journalistes incitent aussi à la vérification des sources et à la prudence. Pourtant, certains journalistes n'ont aucune prudence dans leur démarche et prennent parti pour une cause, d'une façon enflammée sans aucun recul. Je peux comprendre qu'on l'on puisse avoir un coup de coeur à une injustice, mais face au récit de celle-ci, l'on se doit malgré tout de tout vérifier sur les circonstances (tenants et aboutissants) de cette injustice. Moi-même, j'ai depuis longtemps milité pour la cause tibétain, qui semble pour moi le paradigme (l'exemple idéal) de l'injustice sur terre. Mais je ne suis pas aveugle. Car es dirigeants tibétains du passé ont une grande part de responsabilité dans leur mise sur tutelle sous domination chinoise actuelle, de leur peuple, en lui faisant rater le train du progrès et de la modernité, dans le passé. Quand je vois des moinillons répéter inlassablement des mantras, dans les monastères tibétains (gompas), je me dis que ce n'est pas cela qui va développer leur esprit critique. Bonjour, Est-ce naïf ? Mais je crois à la vertue de l'honnêteté et d'une approche si possible scientifique (au moins, adopter un minimum de prudence) lorsque l'on aborde tout sujet, d'autant plus le sujet est l'objet de polémique. Je me dois d'être aussi prudent envers moi-même, je me dois douter de moi-même et de mes convictions et jugements, éviter tout jugement hâtif _ sur tel sujet, sur les autres (qui suis-je pour croire que je tiens tous les tenants et aboutissants d'une affaire) ... _ et pire encore croire que je détiens la vérité avec un grand V (car presque tout le monde, ici-bas, croit détenir un vérité, chacun à sapetite ou grande échelle). Pire serait de me croire être un "maître-penseur", une "autorité incontestable", qui ne faillit jamais (à l'exemple, des "prophètes" _ des "gourous" autoproclamés _, des dictateurs, à l'image de ces personnalité à l'ego surdimensionné, qui sont "subjugués" par eux-mêmes et leurs découvertes). Quand j'aborde un sujet, je ne fais jamais l'économie de faire une vérification aussi approfondie que possible de l'information, des sources, par paresse intellectuelle, par "manque de temps", Du moins, je tente de le faire systématiquement. Pour moi, tout le monde devrait connaître la démarche scientifique, qui demande une très grande rigueur et honnêteté intellectuelle. Cette approche rationnalise et dépassionne les débats. Or je constate que la démarche scientifique, dont celle de vérification systématique de toutes les informations et de vérification expérimentale rigoureuse, celle qui développe l'ésprit critique, n'est pas tout enseignée, en France, à l'école primaire, au lycée, collège, mais pire encore, ni dans l'écoles d'ingénieurs ou de médecine. On peut ressortir de ces écoles en restant un ingénieur ou un médecin scientifiquement farfelu (ces formations n'inciteront pas des Dr. Luc Jouret, des Dr Jean Solomidès ... à être prudents sur leurs supposées découvertes). Les bonnes écoles de journalistes incitent aussi à la vérification des sources et à la prudence. Pourtant, certains journalistes n'ont aucune prudence dans leur démarche et prennent parti pour une cause, d'une façon enflammée sans aucun recul. Je peux comprendre qu'on l'on puisse avoir un coup de coeur à une injustice, mais face au récit de celle-ci, l'on se doit malgré tout de tout vérifier sur les circonstances (tenants et aboutissants) de cette injustice. Moi-même, j'ai depuis longtemps milité pour la cause tibétain, qui semble pour moi le paradigme (l'exemple idéal) de l'injustice sur terre. Mais je ne suis pas aveugle. Car es dirigeants tibétains du passé ont une grande part de responsabilité dans leur mise sur tutelle sous domination chinoise actuelle, de leur peuple, en lui faisant rater le train du progrès et de la modernité, dans le passé. Quand je vois des moinillons répéter inlassablement des mantras, dans les monastères tibétains (gompas), je me dis que ce n'est pas cela qui va développer leur esprit critique. Idem avec les jeunes enfants musulmans apprennent déjà par coeur, à l'âge de 5 ans; les versets du Coran dans les écoles coraniques (dans les madrassas ou médersas). Bonjour, Est-ce naïf ? Mais je crois à la vertue de l'honnêteté et d'une approche si possible scientifique (au moins, adopter un minimum de prudence) lorsque l'on aborde tout sujet, d'autant plus le sujet est l'objet de polémique. Je me dois d'être aussi prudent envers moi-même, je me dois douter de moi-même et de mes convictions et jugements, éviter tout jugement hâtif _ sur tel sujet, sur les autres (qui suis-je pour croire que je tiens tous les tenants et aboutissants d'une affaire) ... _ et pire encore croire que je détiens la vérité avec un grand V (car presque tout le monde, ici-bas, croit détenir un vérité, chacun à sapetite ou grande échelle). Pire serait de me croire être un "maître-penseur", une "autorité incontestable", qui ne faillit jamais (à l'exemple, des "prophètes" _ des "gourous" autoproclamés _, des dictateurs, à l'image de ces personnalité à l'ego surdimensionné, qui sont "subjugués" par eux-mêmes et leurs découvertes). Quand j'aborde un sujet, je ne fais jamais l'économie de faire une vérification aussi approfondie que possible de l'information, des sources, par paresse intellectuelle, par "manque de temps", Du moins, je tente de le faire systématiquement. Pour moi, tout le monde devrait connaître la démarche scientifique, qui demande une très grande rigueur et honnêteté intellectuelle. Cette approche rationnalise et dépassionne les débats. Or je constate que la démarche scientifique, dont celle de vérification systématique de toutes les informations et de vérification expérimentale rigoureuse, celle qui développe l'ésprit critique, n'est pas tout enseignée, en France, à l'école primaire, au lycée, collège, mais pire encore, ni dans l'écoles d'ingénieurs ou de médecine. On peut ressortir de ces écoles en restant un ingénieur ou un médecin scientifiquement farfelu (ces formations n'inciteront pas des Dr. Luc Jouret, des Dr Jean Solomidès ... à être prudents sur leurs supposées découvertes). Les bonnes écoles de journalistes incitent aussi à la vérification des sources et à la prudence. Pourtant, certains journalistes n'ont aucune prudence dans leur démarche et prennent parti pour une cause, d'une façon enflammée sans aucun recul. Je peux comprendre qu'on l'on puisse avoir un coup de coeur à une injustice, mais face au récit de celle-ci, l'on se doit malgré tout de tout vérifier sur les circonstances (tenants et aboutissants) de cette injustice. Moi-même, j'ai depuis longtemps milité pour la cause tibétain, qui semble pour moi le paradigme (l'exemple idéal) de l'injustice sur terre. Mais je ne suis pas aveugle. Car es dirigeants tibétains du passé ont une grande part de responsabilité dans leur mise sur tutelle sous domination chinoise actuelle, de leur peuple, en lui faisant rater le train du progrès et de la modernité, dans le passé. Quand je vois des moinillons répéter inlassablement des mantras, dans les monastères tibétains (gompas), je me dis que ce n'est pas cela qui va développer leur esprit critique. Idem avec les jeunes enfants musulmans apprennent déjà par coeur, à l'âge de 5 ans; les versets du Coran dans les écoles coraniques (dans les madrassas ou médersas). Ce qui me désespère que la majorité des êtres humains, sur cette terre, ne comprend pas l'importance de l'esprit critique. La plupart du temps, ils se contentent de vérités toutes faites, en particulier de "vérités religieuses". Sans esprit critique, pas d'invention de la méthode expérimentale, sans méthode expérimentale (inventée par Galilée, Tycho Brahée ...), pas d'invention de la pensée scientifique occidentale, entre le 16 et le 17° siècles. Sans la pensée scientifique occidentale, pas d'utilisation généralisée de l'électricité à grande échelle, pas de voitures, de camions, de porte-containers, de trains, d'avion, d'ordinateurs, de téléphones portables, d'internet, d'augmentation actuelle de l'espérance de vie globale de l'humanité (grâce à la médecine moderne, en particulier) ... De mon côté, je n'ai appris l'authentique méthode scientifique qu'en doctorat de 3ème cycle en physique des plasmas, au CNRS, vers l'âge de 23 ans, ce qui est bien tard. Alors qu'en étant aménagée, elle pourrait être apprise dès la CM2. Concernant la polémique concernant la présidence du jury du festival de Canne attribuée à Roman Polanski, je n'ai pas voulu entrer dans la polémique, car il faut être très prudent, d'autant que personnellement échaudé, je me méfie des emballements et lynchages médiatiques possibles, pour de bonnes ou mauvaises raisons. En effet, sommes-nous en possession de toutes les données sur cette affaire, qui s'est passée en 1977 (soit il y a 40 ans) ? Ce que je sais de l'affaire "En 1993, Roman Polanski se serait engagé à verser à Samantha Geimer une indemnité de 500 000 dollars dans un délai de deux ans. La somme qu'il a finalement versée à Samantha Geimer demeure inconnue. La victime souhaite alors retourner à l'anonymat et exprime son désir d'abandonner les poursuites contre le cinéaste, ce qui semble indiquer que le différend portant sur l'indemnisation a été résolu. Celle-ci est sortie du silence à deux reprises : en 2003 pour écrire à l'Académie des Oscars et dire aux votants qu'il fallait juger l'artiste et non l'homme en lui-même à propos du film Le Pianiste et en 2008 en apparaissant à la première du documentaire de Maria Zenovich, Roman Polanski: Wanted and Desired, réitérant pour l'occasion son souhait de délaisser toute procédure à l'encontre du réalisateur pour éviter de revivre ce traumatisme et pour protéger ses enfants. Samantha Geimer révèle en 2013 que le réalisateur lui a envoyé une lettre d'excuses privée depuis déjà plusieurs années". Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Roman_Polanski Je peux me tromper, mais j'ai l'impression que pour des raisons idéologiques (ou des raisons ou motivations cachées, intimes, que certaines personnes ne veulent pas révéler, dans leur combat), l'on ne respecte pas du tout la volonté de Samantha Geimer. Par exemple, une journaliste s'est engagée très fort pour pousser Roman Polanski a démissionner de son poste de président du Jury, ce qu'il a fait finalement. Une de ses amis FB lui a rappelé alors que l'affaire de viol avait eu lieu il y a 40 ans, qu'ensuite Polansky s'était excusé par lettre et par un dédommagement auprès d'elle et que depuis sa victime lui avait pardonné (après, il est vrai, personne ne connaît exactement le dégré de résilience de Samantha Geimer face au traumatisme qu'elle a subi). Or cette journaliste l'a bloqué sur FB (c'est une forme de censure, le refus d'une discussion objective et dépassionnée). Ce genre d'attitude partisane ou passionnée _ celle d'une pasionaria d'une cause _ est dangereuse, car elle conduit à un certain aveuglement (à se mettre des oeillères sélectives) sur les faits, à juger uniquement au filtre de ses passions et coups de coeurs. Dans toutes ces affaires-là, il faut toujours tenir compte de tous les tenants et aboutissants et ne pas se limiter qu'aux "vérités", qui vont dans le sens de vos convictions et qui vous sont agréables. L'honnêteté intellectuelle est aussi d'accepter de considérer, avec autant d'objectivité que possible, les vérités désagréables et dérangeantes, qui ne cadrent pas avec ses propres convictions. Justement, une des vérités extrêmement dérangeante pour moi, et pour l'image que je me faisais de la grandeur de la France, sont les crimes qu'a commis la France en Algérie. C'est une des vérités qui a été la plus dure à accepter pour moi. Mes parents ayant vécu en Algérie, entre 73 et 78, et m'y étant rendu 4 fois, pour des séjours de 2 mois et demi, j'ai commencé à m'interroger sur ces crimes, à partir de 1973, à cause d'une certaine haine anti-française que j'y ai ressenti (combien d'Algériens, nés avant l'indépendance, s'affirmaient "résistants"), et d'un intense propagande continuelle à la télévision et tous les autres médias (El Moujahid ...) contre les crimes de la France, les 1,5 millions de morts algériens que la politique coloniale de la France aurait causée. Je me suis rendu à la Grande Bibliothèque d'Alger, mais aucun bouquin en Français sur la guerre l'Algérie. Selon, les historiens sérieux _ dont Benjamin STORA ... _, le chiffre du nombre de morts algériens se situeraient entre 350.000 et 500.000 morts, causés par la guerre d'Algérie (et 50.000 morts pour les européens), On est donc loin des 1,5 millions de morts algériens de la télévision algérienne, mais cela fait quand même beaucoup, sachant qu'en 62, les Algériens étaient, je crois, environ 8 millions. L'article 7 du Statut de Rome, de 1957, donne la liste des crimes de droit commun qui sont des crimes contre l'humanité dès lors qu'ils sont commis sur ordre « dans le cadre d'une attaque généralisée ou systématique dirigée contre toute population civile » : meurtre ; esclavage ; déportation ; emprisonnement abusif ; torture ; abus sexuels ; persécution de masse ; disparitions ; apartheid, etc.[texte 1] Selon le statut du Tribunal militaire de Nuremberg, établi par la Charte de Londres (art. 6, c). en 1945, un crime contre l'humanité désigne une « violation délibérée et ignominieuse des droits fondamentaux d'un individu ou d'un groupe d'individus inspirée par des motifs politiques, philosophiques, raciaux ou religieux »[1]. Cependant, « il n’y a pas, pour les crimes contre l’humanité, de définition généralement admise »[2]. La notion de crime contre l'humanité est une catégorie complexe de crimes punis au niveau international et national par un ensemble de textes qui regroupent plusieurs incriminations. L'examen du Tribunal pénal international peut porter aussi, mais pas exclusivement, sur la liste des crimes figurant à l'article 5 à savoir le crime de génocide, le crime de guerre et le crime d'agression. Donc, si l'on se base sur les faits commis à l'époque, le gouvernement colonial français a bien torturé, déporté, a commis des actes conduisant à la "disparition" de personnes [les "corvées de bois" etc.], à un "apartheid" des "indigènes" .... Les déplacements forcés des populations des Aurès, de Kabylie ... vers des camps de regroupement, le manque de ravitaillement pour ces populations, par l'armée, a provoqué de grandes famines et de nombreux morts chez celles-ci (Michel Rocard, qui était au courant des faits, avait dénoncé à l'époque ces déplacements brutaux). Voir cette vidéo : https://m.youtube.com/watch?v=RGLrdjkcLdM&feature=youtu.be Par contre, il est certain qu'il n'y a jamais eu d'intention génocidaire d'extermination programmée des populations algériennes, de la part des autorités coloniales française, comme dans le cas du génocide arménien. Le FLN et l'ALM, eux-mêmes, ont commis de graves crimes de guerres et des massacres, y compris comme des propres compatriotes, soupçonnés de collaboration avec la France ou trop tièdes, contre l'autre mouvement indépendantiste, le Mouvement national algérien (MNA). Faits, que les médias algériens ne relatent jamais. Donc, il faut de garder des vérités simples et simplistes sur des périodes troubles de l'histoire sujettes à tous les dérapages (conduisant aux crimes de guerres desx 2 côtés), et à toutes les passions aveuglantes. Pour les besoins de ma démonstration, j'ai simplifié les faits alors qu'ils sont, en fait, bien plus complexes. Autres sujet pour le quel il faut se garder de toute analyse passionnhelle est l'antisémitisme et l'antichristianisme latant chez un bon nombre de personnes de confession musulmane et le contenu antisémite et antichrétien du Coran. Il a 17 versets et au moins 5 hadiths aux contenus antisémites et antichrétiens. Cf. mon document Médecines parallèles ou charlatans ?, http://www.ina.fr/video/DVC8408089001